Pour faire un bon film...
1) Maria, colombienne, elle enlève les épines des roses dans une plantation de fleurs.
Enceinte, n'aime le père de l'enfant, qui ne l'aime pas non plus.
Vit avec sa mère, sa soeur et le fils de sa soeur.
Pauvreté, besoin d'argent, envie de nouveau, de s'évader, un caractère de battante, de déterminée et d'impulsive...
2) Franklin, vient d'une ville assez grande, possède une moto (donc de la crédibilité), connaît un trafiquant de drogue
3) rencontre de Maria et Franklin
--> ça vous donne : Maria devient une mule ainsi qu'une amie à elle. Elle part à New York, se fait arrêter mais échappe de justesse au contrôle grâce à sa maternité. Lucy, mule aussi, meurt et se fait ouvrir le ventre par ceux qui récupèrent la drogue. Paniquée Maria s'enfuit avec son amie et après maintes pérégrinations rend la drogue pour protéger sa famille en Colombie. Son amie retourne au pays, mais elle, reste en Amérique, avec son enfant dans le ventre...
Une prestation remarquable, l'ambiance parfaitement établie, la musique envoutante... On te salue Maria !
Pour couronner le tout ma Chirie était là (avec un paquet de bonbon pour fêter son passage en L!!) Merci ma puce d'être toujours là pour les meilleurs moments...(comme pour les pires d'ailleurs!) Je t'adoreeeeeeeeeeeeeee!
Une légende... Non pas devenue réalité mais portée à l'écran!
Heureusement j'ai contaminé les lectures de mon frère par ce petit [grand pardon] génie anti-héros [ qui rappelle le plus contemporain Artemis Fowl de Eoin Colfer pour les amateurs du genre ;) ] et est donc ainsi réussi à l'emmener avec moi au cinéma!
Ma critique de ce film dont je ne ferais pas de résumé, désolée [ en tant que grande fan du personnage je ne pourrais me permettre d'omettre la plupart des détails, ainsi donc il serait inutile de vous faire une copie du script car dans ce cas il vaudrait carrément mieux que vous alliez voir le film!] :
Contrairement à ceux qui imaginaient Lupin plus vieux il correspond pour ma part à l'image que je me faisais de lui. Il a l'air enjoué et malicieux qu'on lui connaît, comme l'élégance et la délicatesse te bien sûr la sensibilité. Le bémol? Il est regrettable qu'il ne change pas plus d'apparence en trompant les spectateurs comme il trompe les lecteurs [il ne changera qu'une fois tout en restant TRES reconnaissable, et pendant un accéléré de quelques minutes aussi, mais ce n'est pas là ce que j'attendais].Le personnage qui endossera ce rôle "d'illusioniste" sera le père de Arsène, mais là j'avoue que le scénariste a pris une certaine liberté. Quant à l'histoire fort inspirée de L'aiguille creuse, il est dommage que l'intrigue est été détournée par rapport à l'oeuvre, néanmoins celle du film reste intéressante. Ce qui m'a par contre assez choquée est le personnage de Joséphine incarné par Kristin Scott Thomas [ qui endosse parfaitement le rôle du personnage et fait une superbe prestation, entre Merteuil et Succube. ]. Cet élan irréaliste (elle traverse les siècle en buvant une potion préparée par son père Calliostro) dépasse l'imagination que c'était permis Leblanc dans ses idées de trésor des rois, et passe au-delà de "l'acceptable" pour le spectateur (on veut bien croire au trésor des rois, mais quand on nous demande de croire à l'immortalité de Joséphine ça passe durement), ce qui met en péril tout le scénario. Dommage! Quant à la fin du film qui reste en suspens, c'est une grossière ouverture pour faire une suite (et gagner encore plein plein d'argent mouahahahah).
En conclusion c'est avant tout un bon film, pas incontournable mais à aller voir tout de même!
In the cut...
A première vue, on pourrait croire que c'est un film BIEN. Meg Ryan à l'affiche, un thriller, et d'après la jaquette "vous n'aurez plus jamais la même vision de ce qu'est le désir" [Arf oui effectivement]. Mais bon, en vieux singes, ne nous fions pas aux apparences! [Et il y a de quoi]
Synopsis agrémentés de commentaires personnels pour bien vous faire comprendre "l'intérêt" du film : Meg Ryan est une professeur de lettres accro de poésie en sévère manque d'amour [méconnaissable, la frange dans les yeux et les cheveux chatains raides, réduite à se donner du plaisir toute seule chez elle (évidemment plus de 5min du film y est consacré) totalement pitoyable]. Dans un bar elle "observe" ,dirons nous, une "scène d'intense passion" [d'après la jaquette encore] entre un homme et une femme et remarque un tatouage au bras de l'homme. [Là où je constate que l'intense passion à un sens totalement différent pour moi que pour le scénaristes c'est que cette scène est en fait une fellation (avec gros plan dont on aurait pu LARGEMENT se passer)] Elle apprend un peu plus tard par un inspecteur de police qu'un meurtre a été commis près de chez elle et qu'il s'agit de la femme qu'elle avait vu. Le problème : Meg Ryan alias Frannie est sous le charme du fameux policier qui a sur son poignet le tatouage qu'elle avait remarqué [là on est sensé avoir très peur]. Je vous épargne la suite, les scènes de cul entre nos deux zigotos, la psychose de miss Frannie, le meurtre de la demi soeur de Frannie [avec à la caméra tous les détails gores qu'on aurait bien aimé ne pas voir non plus (la tête coupée qui pisse le sang)] et ce fameux meurtrier qu'on a toujours pas vu [ là on constate qu'après la fameuse scène de passion intense il y a aussi un décalage de vocabulaire concernant le mot thriller]. C'est peut être d'aillleurs pour sauver la fin du film que les 10 dernières minutes ressemblent déjà un peu plus à un thriller [il était temps], les trois hommes louches se succèdent à l'écran et évidemment à chaque fois qu'on en voit un on croit que c'est le méchant [qui nous fait pas tellement peur quand même]. Le dénouement est bof, finalement la petite Frannie pleine de sang retourne voir son policier qui était gentil, bien que louche et obsédé. [Vive la morale de l'histoire!]
En résumé : pas de thriller, de l'érotique à souhait à la place, du suspens seulement les 10 dernières minutes, une Meg Ryan pas exceptionnelle..... --> In the cut
Une des choses les plus lamentables et dignes d'avoir sa propre diatribe de notre génération est la culture de l'inculture.
Saint Ange... Un orphelinat... 1958...
S'il y a une chanson à télécharger (et pardon si j'incite à la fraude), c'est bien celle là!
Hier je suis allé écouté le requiem de Fauré dans une église de Versailles. Je connaissais pas cette oeuvre mais je savais que c'était la préférée de ma mère donc je lui ai proposé qu'on y aille (elle déteste sortir toute seule) et c'était..... GENIAL
Qui ne s'est jamais demandé où les auteurs allaient chercher leurs noms?? Vous avez toujours voulu savoir, regardez donc cela :